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damedecoeur
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Message par damedecoeur »

Synonyme de prophétie, de pressentiment et de prémonition, ce terme désigne un type de perception extrasensorielle d'événements futurs. Parmi les plus grands noms de la précognition, il convient de citer le moine français Nostradamus, né à Saint-Rémy-de-Provence en 1503. Auteur des célèbres Centuries, dont bon nombre de savants cherchent encore à percer le sens exact, il était également médecin, alchimiste et astrologue.

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La précognition s'avère la plupart du temps spontanée. Elle s'accompagne d'une intensité émotionnelle intense, y compris chez des sujets ne s'étant jamais révélés particulièrement prédisposés à la voyance.

Il s'agit d'une sensation étrange et relativement bouleversante, mais ceux qui l'éprouvent ne s'y attardent en général pas plus que cela, jusqu'au moment où l'épisode funeste se produit et où ils réalisent qu'ils l'avaient perçu d'avance. La précognition spontanée se manifeste principalement pendant le rêve ; elle concerne en majorité des événements étroitement liés à l'univers individuel. Le sujet y prête alors, c'est bien naturel, beaucoup plus d'attention car il se sent personnellement davantage impliqué que par la perception anticipée de réalités lointaines, même d'importance majeure.



Précognition enfantine :ang2:


Elisabeth Kùbler-Ross, la grande initiatrice de toutes les recherches modernes sur la mort et plus précisément sur l'accompagnement des mourants, s'est tout particulièrement intéressée aux enfants qui allaient mourir. Sa conviction est nette : les enfants pressentent leur mort. Des dessins, des lettres, des poèmes, dont on ne comprend tout le sens qu'après leur mort. Mais ils pressentent aussi, au-delà, l'étape suivante, la rencontre dans la lumière, le pays de l'amour universel et inconditionnel qui les attend, et dont parfois même ils entendent l'appel.

Elisabeth Kûbler- Ross fournit plusieurs exemples très convaincants. Nous nous contenterons ici du plus extraordinaire. Le récit en est fait par la mère de l'enfant :



« Ma fille s'est réveillée de bonne heure ce matin-là, dans un état qu'on ne peut qualifier que de très vive surexcitation. Elle avait dormi dans mon lit, elle m'a réveillée en m'embrassant et en me secouant : "Maman, maman ! Jésus m'a dit que j'allais au ciel ! Je suis bien contente d'aller au ciel, maman, là où tout est beau et or et argent et brille, et où il y a Jésus et Dieu", etc., etc. Elle parlait si vite que je pouvais a peine la suivre. Comme dans un état de béatitude. Cela m'a fait peur, d'abord par son étrangeté. Ce n'était vraiment pas un sujet de conversation habituel. J'étais surtout inquiète de sa surexcitation. C'était une petite fille calme, presque contemplative, très intelligente, mais ce n'était pas une enfant portée à l'enthousiasme. Elle avait beaucoup de vocabulaire et s'exprimait avec précision. La trouver si agitée que les mots se bousculaient sur ses lèvres et qu'elle bégayait, c'était extraordinaire. Je ne me souviens pas l'avoir jamais vue dans un tel état, ni à Noël, ni aux anniversaires, ni au cirque. Je lui ai dit de parler moins fort, de se calmer, de ne pas dire Ça (c'était de ma part une crainte superstitieuse, car, depuis sa naissance, j'avais, comme une sorte de pressentiment, l'idée qu'elle ne resterait pas longtemps avec moi). Cela, je ne l'avais dit qu'à une amie très intime. Je n'avais pas envie qu'on m'y fasse penser, et je n'avais pas envie de l'entendre me parler de cela, surtout de cette façon subite, inattendue, un peu folle. Elle n'avait jamais auparavant parlé de la mort, sinon d'une façon abstraite, mais jamais de sa mort. Je n'arrivais pas à la calmer, elle continuait à parler du ' 'beau ciel tout doré, avec des merveilles, et des anges dorés, et des diamants et des bijoux, maman !" et comme elle était contente d'être là, et comme elle s'amusait bien, et ce que Jésus lui avait dit... Je me souviens de son comportement plus que de ses expressions littérales, mais j'ai bien retenu quelques-unes de ses paroles. Je lui ai dit : "Repose-toi à présent" et j'ai voulu la recoucher. "Si tu allais au ciel, tu me manquerais bien, ma chérie, et je suis très contente que tu aies fait un si beau rêve, mais à présent, repose-toi un peu, d'accord ?" Ce fut inutile.

Elle m'a dit : "Ce n'était pas un rêve, c'était vrai " (et quel accent elle y mettait, cette petite de quatre ans !) "mais il ne faut pas te tourmenter, maman, parce que Jésus m'a dit que je m'occuperai de toi, et je vais te donner de l'or et des pierres précieuses et tu n'auras-à t'inquiéter de rien..." Je cite seulement les phrases dont je me souviens mot pour mot. Elle m'a encore parlé quelque temps des merveilles du ciel, mais en se calmant peu à peu. Quand je lui dis encore qu'elle avait fait un bien joli rêve, elle répéta que c'était vrai, vraiment vrai. Elle se blottit un moment dans mes bras en me disant de ne pas m'inquiéter parce que Jésus s'occuperait de moi, puis se glissa hors du lit et partit en courant pour aller jouer. Je me suis levée moi aussi pour préparer le petit déjeuner. C'était un jour comme un autre. Mais entre 3 heures et 3 heures et demie, cet après-midi-là, ma fille a été assassinée (noyée intentionnellement).

La conversation que j'avais eue avec elle, le matin, était si surprenante que j'en ai parlé aussitôt par téléphone à une personne, qui s'en souvient très bien. Quand elle apprit ensuite la mort de R., une de ses premières pensées a été : comment l'enfant a-t-elle pu savoir ? Pour moi, je crois qu'il est impossible de connaître l'avenir, les lois physiques ne peuvent être modifiées. Ma fille ne pouvait pas savoir qu'elle allait "aller au ciel' ', mais c'est ainsi : elle m'a réveillée dans un état de surexcitation très insolite, affirmant que Jésus lui avait dit qu'elle irait au ciel (sincèrement je ne me rappelle pas si elle a précisé "aujourd'hui"). Et elle est morte cet après-midi-là. Environ sept heures plus tard. Je ne peux l'expliquer.

Nous n'étions pas une famille très pratiquante. Ma fille était allée à l'église avec nous deux fois, et, bien sûr, nous lisions aux enfants des histoires de Moïse, de Jésus, Marie et Joseph. Ils allaient à l'école du dimanche, mais sans régularité. Je me suis efforcée d'enseigner à mes enfants à aimer et respecter les autres, à être bons et serviables, plutôt qu'à pratiquer une religion ; je ne pouvais leur enseigner ce que je ne connaissais pas, et bien que j'aie étudié, prié, médité, je répondais quand mes filles m'interrogeaient sur le ciel que je ne savais rien de ce qui se passe après la mort. Ce n'est pas à la maison qu'elles ont entendu le mot "ciel" et des images comme "les routes dorées du ciel". Nous n'en avons jamais parlé... »



On pourrait, dans le cas de décès par maladie, attribuer le pressentiment de l'enfant à l'affleurement au niveau du subconscient du processus biologique déjà déclenché. Mais, lorsqu'il s'agit d'un accident provoqué par un tiers, ou d'un meurtre, l'explication doit être cherchée ailleurs

si cela vous interresse on ne sait jamais j'ai trouvé sur

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celeste1964
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Message par celeste1964 »

:bird2: Merci Damedecoeur :bird2:

le sujet est trés interessant


:pap3: :brav1: :pap3:
linh
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Message par linh »

:paix1:
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