L’âme du pommier
Publié : lun. oct. 03, 2011 1:19 pm
L’âme du pommier
Je suis un pommier et je suis plein de splendeur, au printemps, j’offre de magnifique fleurs de couleur blanche et rose, et en automne j’offre de magnifique belle pommes, c’est pommes qui sont si belle et voilà que malgré ma beauté, personne ne viens cueillir les belles pommes que j’offre et qui me ferai ton plaisir de les offrires.
Voila, je suis sur une propriété qui appartient à une personne qui payes des impôts sur cette place et encore merci de me laissé vivre car j’ai l’impression que je suis la pour rien et que personne ne m’aime, et pourtant, il y a des passants qui son émerveillé devant mes belles pommes mais n’ose pas en cueillir une seul car on leur a appris de ne pas touché à ce qui ne leur appartiens pas ,
Et voila, je suis bien triste de cette situation, je sais que mon propriétaire légal ne dirais rien si une personne prendrai quelque pomme car il n’a pas le temps de s’occupé de moi, c’est bien trop de travaille alors j’attends l’automne et je laisse mes pommes tombé sur le sol et me referme sur moi-même en laissant tombé toutes mes feuilles et me souviens d’une fable de Paul Verlaine,
Chanson d'automne
Les sanglots longs des violons de l'automne
blessent mon cœur d’une langueur monotone
Tout suffocant et blême quand sonne l’heure,
Je me souviens des jours anciens et je pleure
et je m'en vais au vent mauvais
qui m'emporte deçà, delà,
pareil à la feuille morte
Mes amities
Je suis un pommier et je suis plein de splendeur, au printemps, j’offre de magnifique fleurs de couleur blanche et rose, et en automne j’offre de magnifique belle pommes, c’est pommes qui sont si belle et voilà que malgré ma beauté, personne ne viens cueillir les belles pommes que j’offre et qui me ferai ton plaisir de les offrires.
Voila, je suis sur une propriété qui appartient à une personne qui payes des impôts sur cette place et encore merci de me laissé vivre car j’ai l’impression que je suis la pour rien et que personne ne m’aime, et pourtant, il y a des passants qui son émerveillé devant mes belles pommes mais n’ose pas en cueillir une seul car on leur a appris de ne pas touché à ce qui ne leur appartiens pas ,
Et voila, je suis bien triste de cette situation, je sais que mon propriétaire légal ne dirais rien si une personne prendrai quelque pomme car il n’a pas le temps de s’occupé de moi, c’est bien trop de travaille alors j’attends l’automne et je laisse mes pommes tombé sur le sol et me referme sur moi-même en laissant tombé toutes mes feuilles et me souviens d’une fable de Paul Verlaine,
Chanson d'automne
Les sanglots longs des violons de l'automne
blessent mon cœur d’une langueur monotone
Tout suffocant et blême quand sonne l’heure,
Je me souviens des jours anciens et je pleure
et je m'en vais au vent mauvais
qui m'emporte deçà, delà,
pareil à la feuille morte
Mes amities