Paroles groupe Métal
Publié : mer. juil. 23, 2014 6:38 pm
hellooo
Voici les paroles d'un groupe de métal Français (plus précisément du hardcore) que j'affectionne tout particulièrement...
Textes auxquels ils accordent un soin particulier :)
LIBRE
Des pays si lointains, des peuples inconnus.
Certains n'ont jamais obtenu ou tout perdu.
A des années lumières de tes préoccupations premières.
Nés sous le joug, nourris et élevés dans la servitude
que les choses semblent naturelles quand vient l'habitude.
Mais comment accepter le vice de voir un nombre infini d'hommes obéir et servir, exploités que l'on
somme de ne rien contredire, accepter la vie qu'on leur donne
et bannir tout espoir.
Ils prennent pour état de nature, l'état de naissance.
La prise de conscience du malheur toujours après le plaisir.
Comment vouloir être libre et regretter la liberté, sans même en avoir une idée ?
La raison bien loin, la souffrance et la peine assimilées au quotidien anesthésient la haine.
C'est tout un peuple que l'on saigne.
Humiliés, rabaissés, tant d'indignités que les bêtes elles-même ne pourraient supporter.
Alors le poids des années semblent ancrer à jamais le règne d'un fou sur un peuple à genoux.
Répression ordinaire, à chaque seconde,
ce qu'y se passe partout dans le monde n'est pas imaginaire.
Ils prennent pour état de nature, l'état de naissance.
La prise de conscience du malheur toujours après le plaisir.
Comment vouloir être libre et regretter la liberté, sans même en avoir une idée ?
Voici les paroles d'un groupe de métal Français (plus précisément du hardcore) que j'affectionne tout particulièrement...
Textes auxquels ils accordent un soin particulier :)
LIBRE
Des pays si lointains, des peuples inconnus.
Certains n'ont jamais obtenu ou tout perdu.
A des années lumières de tes préoccupations premières.
Nés sous le joug, nourris et élevés dans la servitude
que les choses semblent naturelles quand vient l'habitude.
Mais comment accepter le vice de voir un nombre infini d'hommes obéir et servir, exploités que l'on
somme de ne rien contredire, accepter la vie qu'on leur donne
et bannir tout espoir.
Ils prennent pour état de nature, l'état de naissance.
La prise de conscience du malheur toujours après le plaisir.
Comment vouloir être libre et regretter la liberté, sans même en avoir une idée ?
La raison bien loin, la souffrance et la peine assimilées au quotidien anesthésient la haine.
C'est tout un peuple que l'on saigne.
Humiliés, rabaissés, tant d'indignités que les bêtes elles-même ne pourraient supporter.
Alors le poids des années semblent ancrer à jamais le règne d'un fou sur un peuple à genoux.
Répression ordinaire, à chaque seconde,
ce qu'y se passe partout dans le monde n'est pas imaginaire.
Ils prennent pour état de nature, l'état de naissance.
La prise de conscience du malheur toujours après le plaisir.
Comment vouloir être libre et regretter la liberté, sans même en avoir une idée ?